Bilan de l’année 2013 [Gamer Contrarié]

Autant l’avouer, je ne suis pas de ceux qui se retournent sur le passé. Evaluer point par point ce qu’a pu nous apporter l’année maintenant achevée et en faire un bilan, ça n’est pas dans mes habitudes. Mais je dois bien reconnaître que 2013 a été marquée par quelques événements des plus réjouissants, et je ne parle pas uniquement de la fin de la carrière musicale de Justin Bieber. Etant donné que ces lignes sont destinées à Archaic.fr, petit bastion des critiques divergentes depuis lequel vous lisez ces lignes, il est évident que je me dois de mentionner que c’est bel et bien cette année que son équipe m’a accueilli en son sein. Ai-je été digne de cette reconnaissance ? Evidemment que oui Je vous en laisse seuls juges.

Mis à part cela, mon blog continue son chemin et risque fort de bénéficier très bientôt d’une nouvelle rubrique vidéo, agrémentée de chroniques parlant évidemment de divertissements interactifs. A condition bien sûr que YouTube cesse d’importuner tous les gentils créateurs de contenus qui ont eu le malheur d’utiliser des images ou des musiques dont ils ne détiennent pas les droits. Seule l’évolution de leur politique me dira si je serai contraint de faire des tutos maquillages de chats en guise de podcasts. Côté jeux vidéo, il y a eu des hauts et des bas, entre mon ouverture aux jeux indépendants à gros pixels, quelques jeux AAA réussis, d’autres puants, et une next-gen en mousse qui se vend malgré tout par fenwicks entiers.

Steam

2013 a été avant tout l’année du PC pour moi. N’ayant jusque là jamais possédé de machine permettant de faire tourner ne serait-ce qu’un jeu Game Boy, j’ai découvert ce monde à part qu’est le tout-dématérialisé. Je fais évidemment référence à Steam. Et comme tous les autres, Gabe Newell m’a eu et ma bibliothèque est passée de 0 à 124 jeux en l’espace d’un an. Par contre, dire que je me suis essayé à autant de jeux cette année serait un mensonge. La folie des soldes, couplée à une faiblesse naturelle pour les achats compulsifs, tout cela ne présageait rien de bon pour mon porte-feuille. L’avantage, c’est que j’ai désormais de quoi m’occuper pour les 5 prochaines années, si l’envie me prenait de faire toute ma ludothèque Steam d’une seule traite. Mais ne soyons pas si dur avec nous-mêmes. Bien évidemment, j’ai joué à la plupart de mes jeux et mes investissements seront largement rentabilisés  une fois cette satanée liste sans fond écumée. Il y a plein de titres que j’ai adoré cette année mais qui, à mon grand dam, ne sont pas estampillés « cru 2013 ». Je pense à Chivalry : Medieval Warfare sur lequel j’ai passé de nombreuses heures à embrocher du laimer à grands renforts de vouge ou encore Empire : Total War qui m’a bouffé une bonne partie de l’été. Mais le but ici est de parler de l’année 2013 et des titres qui l’ont accompagnée. Ainsi soit-il.

Blood Dragon Finger

Le jeu qui me vient en tête dès lors que l’on me demande ce que j’ai retenu de cette année 2013 est sans conteste Far Cry 3 : Blood Dragon. A la base perçu comme une énorme farce de la part d’Ubisoft, la parution du premier trailer le 1er Avril n’aidant pas, Blood Dragon est la preuve digitale que même les grosses boîtes de développement devraient se lâcher bien plus souvent. Pour avoir parcouru de long en large le jeu originel après avoir craqué pour ce stand-alone complètement débile, je dois bien avouer que j’ai préféré la petite expérience absurde sans doute imaginée à la fin d’une soirée pizza/bière portée davantage sur le houblon chez les développeurs plutôt que la grosse production pensée par la même équipe avec son cahier des charges à remplir.

hearthstone

Histoire de continuer sur la voie du PC, je me dois de mentionner le free-to-play sur lequel j’ai passé le plus de temps dans toute ma vie de joueur, bien devant Star Wars : The Old Republic qui a fini par me lasser. Il faut bien reconnaître que Blizzard a un certain talent pour ce qui est de populariser des jeux de niche. A l’heure où World of Warcraft perd de plus en plus d’abonnés, après de nombreuses années de bons et loyaux services; la petite PME américaine a, avec brio, préparé sa succession avec HearthStone : Heroes Of Warcraft. Fortement addictif et qui a le bon goût de ne pas être un pay-to-win (à condition de s’y investir, mais de toute façon vous n’aurez pas le choix, vous serez happé dans le jeu pour quelques dizaines d’heures au minimum).

The Stanley Parable

Concluons maintenant, que vous le vouliez ou non si vous le voulez bien, cette succession de titres PC par quelque chose de délicat. Je ne parle pas de délicatesse dans le sens premier du terme (comprenez : je ne fais pas référence à de la lessive). Non, si parler de The Stanley Parable n’est pas chose facile, c’est parce que je ne peux pas vous en parler. Tous ceux qui y ont joué savent pourquoi et ne pourrons qu’approuver en mon sens. La seule chose que je peux vous dire, c’est qu’il faut l’essayer, à condition d’être curieux et de ne pas être allergique à l’imprévu. Le prix à payer (12€) est un peu excessif mais l’investissement en vaut la peine. Allez faire un tour dans l’incroyablement banale histoire de Stanley et revenez m’en dire des nouvelles. Vous n’en saurez rien de plus.*

*Mis à part que j’ai adoré, cela va sans dire.

Je pourrais vous parler de The Last of Us, mais ce serait un peu redondant, j’estime avoir suffisamment rabâché tout le bien que j’en pense et je vous renvoie donc à ma critique disponible dans les colonnes d’Archaic. Toujours dans l’optique AAA, je pourrais également vous faire un speech sur GTA V, qui oscille entre le génialissime et le décevant mais vous y avez tous joué et il doit y avoir un bon milliard d’avis sur la question sur la toile, alors à quoi bon. Je vais plutôt m’attarder sur le réveil (enfin) de Nintendo qui s’est manifesté il y a quelques mois de cela.

Super Mario 3D World

Une fois n’est pas coutume, surtout depuis la sortie de la Wii U, Nintendo s’est enfin sorti les doigts ! Oubliez New Super Mario Bros. U version recyclage sans imagination à but lucratif, le nouveau Mario digne de ce nom c’est Super Mario 3D World. Nos pleurs de désespoir et nos cris de colère ont été entendus : Nintendo s’est enfin décidé à refaire de Mario une série qui innove. Cet épisode fourmille de brillantes idées de gameplay, chaque niveau a quelque chose à nous montrer, garni de mécaniques intelligentes et funs. De quoi faire passer Super Mario 64 pour un vulgaire brouillon, à la limite de la plaisanterie. Et accessoirement, c’est très agréable à regarder, l’effet cartoon en HD fait des merveilles. (Et du vrai 1080p, s’il vous plait)

Voilà a peu de chose de près mon top de l’année passée, j’en oublie certainement mais le but n’est pas de vous tenir la jambe pendant 2h non plus. Et globalement, voici ce que je retiendrai de 2013 : très peu de déceptions. Je peux à la rigueur vous en citer deux… Ok, faisons comme ça.

Metal Gear Remember Me

Metal Gear Rising : Revengeance et Remember Me sont certainement mes deux plus grosses déceptions de l’année, certainement parce que j’en attendais beaucoup, et ce depuis leur annonce.

Remember Me ou Adrift pour ceux qui, comme moi, ont suivi le titre depuis les premières images, est l’exemple typique du jeu qui aurait pu vraiment se démarquer et nous faire voyager loin mais qui a eu le malheur de croiser la route d’un gros éditeur qui a forcé l’équipe de développement à faire de ce potentiel hit un titre noyé dans la masse. Je me souviens encore des premiers artworks qui laissaient présager un grand bol de science-fiction à la Blade Runner en open-world comme j’en suis avide. Hélas, une fois passé à la moulinette du grand public, le titre a perdu beaucoup de son charme et a été entaché d’un gameplay, oh grand Dieu, tellement vu et revu. Je m’attendais à pouvoir me balader librement dans un univers cyberpunk froid et pluvieux. Au lieu de ça, nous sommes gentiment priés d’avancer de couloirs en couloirs et de grimper de rebords en rebords prévus bien évidemment à cet effet. Le système de combat est certes quelque peu original, mais tellement répétitif. Je crois que le mot ennui n’est jamais autant sorti de ma bouche que lorsque je me forçais à grand peine à progresser la mort dans l’âme parmi tous ces couloirs et arènes. Je me suis même plus amusé en jouant à Wet qui est le cas extrême de ce genre de jeu, c’est dire… Voilà pourquoi j’ai désormais plutôt tendance à me diriger vers des titres indépendants, afin d’éviter ce genre de gâchis. Sans détour, Remember Me est ma plus grosse déception de l’année.

Metal Gear Rising : Revengeance est un peu un cas à part car non dépourvu de bien nombreuses qualités. Le gameplay est nerveux, bien ficelé, et bénéficie de tout le savoir-faire de Platinum Games en matière de beat’em all. Etant donné que la jouabilité constitue le cœur d’un jeu tel que celui-ci, je ne peux manifestement pas dire que Metal Gear Rising est un mauvais jeu. Servi en prime par une mise en scène totalement over the top à laquelle le studio nous a maintenant habitué. Mais alors, pourquoi il constitue néanmoins une déception ? Tout simplement parce qu’un plaisir procuré par un tel beat’em all, on veut qu’il dure. Hélas, une petite après-midi m’a suffit pour en voir le bout, de quoi réveiller les babines et se voir refuser le plat principal. Frustration, cris, larmes… Trahison. Pourquoi…? Pourquoi ne pas avoir prolongé l’expérience au delà des 5 heures syndicales dont peut se targuer n’importe quel Call of Duty ? Je sais que la durée de vie n’est pas le point fort des créations de Platinum Games mais même Vanquish, qui était déjà très limite à ce niveau, demandait un peu plus de temps pour en voir la fin. Tout cela est fort dommage, mais je terminerais tout de même en affirmant que ces 5 heures ont été intenses, très intenses, de quoi au moins sauver les meubles.

Refermons maintenant ce bilan de l’année 2013 et intéressons nous quelque peu à l’avenir. J’ai déjà mentionné les consoles « next-gen » qui me laissent jusqu’à présent de marbre; je serai optimiste en certifiant que leur potentiel sera sans nul doute révélé dans le courant de l’année. Ce qui ne m’obligera heureusement pas à passer à la caisse puisque parmi les jeux que j’attends en 2014, beaucoup viendront nourrir, en plus des PS4 et XBox One, ma PS3 ou ma 360. Jugez plutôt : Destiny, Titanfall, Watch Dogs, The Evil Within et surtout Alien Isolation.

Côté PC, je vais continuer à me fendre la gueule sur HearthStone pendant encore quelques mois, tout en faisant un à un les innombrables jeux Steam qui n’attendent que d’être installés. Pour info, j’attends également les versions finales de Starbound, Dungeon of the Endless, The Iconoclasts, SpeedRunners, Magicka : Wizard Wars, Star Citizen, Dungeon Dashers ou encore Secrets of Raetikon. Et il se pourrait fortement que je craque pour une 3DS XL, en grande partie pour Bravely Default et Fire Emblem : Awakening. Mais ça, seul l’avenir nous le dira…

PS : j’ai aussi passé beaucoup trop de temps sur Euro Truck Simulator 2. La raison m’a finalement rappelé à l’ordre après 20h de jeu.

Quoi que, je me ferais bien un petit transport de tomates là, entre Calais et Rotterdam, ce serait sympa. Où est-ce que j’ai mis les clefs de mon superbe Volvo…?

  1. C’est fou comme je ne te rejoins pas concernant tes déceptions de l’année. Remember Me n’est pas passé par la moulinette du grand public mais par le manque de moyens et le changement d’éditeur. L’open world n’était voulu que par Sony, le premier éditeur, et pas du tout non seulement par l’équipe mais aussi par le nouvel éditeur. Le souci, je pense, qu’il y a eu est que les gens ont mis dans Remember Me des attentes non fondées, et Olivier Derivière nous le disait déjà en octobre 2012 à la sortie d’Of Orcs and Men. Il prédisait même que le jeu risquait le flop car les gens attendaient Remember Me pour ce qu’il n’était pas.

    Et si notre expérience 2013 n’a semble-t-il pas beaucoup de points communs, on se recoupe sur Super Mario 3D World. Comme je le disais sous le bilan de Lolita, il m’a fortement surpris.
    Bon par contre, faut pas déconner : il continue de se faire manger par Super Mario 64, hein. Mais il constitue l’une des tout meilleures apparitions du moustachu depuis longtemps.

    En tout cas, nous attendons les mêmes jeux 2014, même si aucun ne me donne réellement envie de ronger mon frein, sauf peut-être The Evil Within – que j’ai zappé dans mon bilan – mais que je redoute en même temps. Beaucoup de pression pour Mikami. Il est si simple de succomber aux facilités du « mainstream », comme dirait l’ami Hyades.

    1. Oh mais je ne blâme pas DontNod pour leur travail, ils ont fait ce qu’ils comptaient finalement faire au départ, et ce que parallèlement Capcom voulait aussi. Je pleure surtout le fait que Sony ne soit pas resté à l’édition, un open-world tel qu’Adrift aurait beaucoup mieux marché que le projet final et peut-être évité le redressement actuel du studio. Mais d’un autre côté, DontNod auraient été forcé de faire de Remember Me quelque chose qu’ils ne souhaitaient pas… Nous ne saurons jamais ce qui aurait été préférable. Et mon avis tranché n’est que le mien, il reste du jeu sa direction artistique qui est néanmoins sympathique à défaut de m’avoir réellement accroché. 😉

      Et à propos de Mario 3D World, si j’ai dit qu’il ridiculisait Mario 64, c’est parce que j’ai rejoué à l’ancêtre presque en même temps que j’ai attaqué le petit dernier. Et quand bien même Mario 64 reste un coups de cœur éternel, je l’ai, à ma surprise, trouvé très inégal en terme de level design avec quelques ratés de taille. Après, il est évident que pour un premier jet 3D, c’est un coup de maître. Mais je me suis finalement ennuyé assez vite, alors que 3D World m’a amusé tout du long. (Et j’ai du mal à me croire moi-même)

  2. Je suis étonné que le père L’ced ne soit pas venu tailler un short au Gamer Contrarié. 🙂

    Non, parce que les remarques faîtes à l’encontre de Metal Gear Rising Revengeance sont typiquement celle d’un joueur qui n’a pas compris la manière dont Platinum Game à construit son jeu. Cela vaut tout autant pour Vanquish ou Bayonetta. Les jeux de Platinum Game basent leur durée de vie sur la REPLAY VALUE. Avec tout ce que cela implique. Je conçois parfaitement que tout le monde ne soit pas prêt à refaire le jeu plusieurs fois pour profiter de tout ce que ces jeux ont à offrir en terme de gameplay à maîtriser via les divers niveaux de difficultés et le scoring inhérent à ce type de jeu ou via la collecte de divers items faisant partit de ce tout. En revanche, on ne peut pas se plaindre de la durée de vie de ses jeux si on se limite qu’à ce qu’ils montrent en façade. Un Bayonetta, un Vanquish ou un Metal Gear Rising Revengeance, c’est comme un shoot them up (même si c’est un exemple encore plus extrême de jeux dont la durée de vie réelle dépend de la replay value). Si tu te contentes d’un premier run, c’est plus ou moins court.

    Par contre, je serai curieux de savoir à quel niveau de difficulté tu as joué à Metal Gear Rising Revengeance. Vanquish, j’ai effectivement fini un premier run aux alentours de 5-6 heures (tout en étant une grosse brèle en TPS à la base). Mais Metal Gear Rising, j’ai mis facilement 3 heures de plus (ce qui est plus que correct) dans le mode de difficulté standard sans jamais vraiment rencontré de gros problèmes et sans trainer lors de mon premier run (un peu moins de 3 heures pour le second, cela dit). Et accessoirement, en ne devant pas être très loin de l’avoir saigné à blanc, j’approche des 60 heures sur le jeu.

    Après, je me répète. Je comprends qu’on n’accroche pas aux principes auxquels répondent des jeux comme Vanquish et Metal Gear Rising Revengeance. Mais dire que leur durée de vie est faible, c’est juste faux. Un jeu doit se juger par rapport à ce que ses créateurs ont voulu faire, pas par rapport à ce que les gens voudraient qu’ils fassent par rapport à un cahier des charges. Et les jeux de Platinum, c’est ça. Des jeux qui sont fait avant tout par rapport à un certain public, et pour ce public. Pas des jeux qui cherchent à plaire à tout le monde.

    Et puis, personnellement, même sur un run, je préfère avoir affaire à un Metal Gear Rising Revengeance qu’à ces concurrents occidentaux (God of War, Lord of Shadows), plus long mais très superficiel d

    1. Haha, ce que tu dis a effectivement beaucoup de sens et je ne peux pas te donner tort. Je suis tout à fait conscient que Platinum se base sur la replay value, cependant, cela n’empêche pas de faire un contenu de base pour un premier run qui soit consistant.

      A contrario, je suis resté sur le cul à l’époque de Bayonetta, et je me rappelle en avoir bavé tout autant mais mon premier run à duré beaucoup plus longtemps. Non pas à cause d’une difficulté plus élevée (elle est à s’arracher les cheveux dans tous les jeux Platinum une fois le mode Difficile enclenché) mais grâce à une durée de vie de base plus longue, allant du simple au double.

      Bien sûr que l’on peut passer 100h sur Metal Gear Rising si on souhaite devenir le King du scoring. Mais si je suis déçu, c’est que j’en attendais beaucoup. J’espérais le voir devenir la nouvelle référence du Beat’em All sur cette génération (rien que ça) et par conséquent surpasser ses prédécesseurs venants du même studios en tous points (y compris la durée de vie initiale).
      L’explication est simple : Un grand espoir est père d’une déception plus grande encore. :sweat:

      Mis à part ça, j’ai pris mon pied et je le reprendrai certainement lorsque je le sécherai 😆

  3. Devenir la nouvelle référence du BTA après Bayonetta, c’est chaud quand même. Avec Bayo, Platinum avait quand mis la barre super haut. Reste que Rising s’impose aussi comme une référence à mes yeux. Derrière Bayo, mais par exemple, je le trouve supérieur à un DMC 3 qui était LA référence du genre avant la sortie de Bayonetta. Et puis surtout, vu le développement plus que houleux qu’a connu MGR, c’est quand même extraordinaire le travail accomplit par Platinum dessus. Il faut quand même se rappeler qu’à la base, ils n’en étaient pas les développeurs et que le jeu ne laissait rien présager de bon avant que Konami confie à Platinum un jeu qui était proche de l’annulation pure et simple.
    C’est une autre chose, selon moi, qui a été peu exposé dans les diverses critiques écrites sur le jeu. Généralement, avec un développement pareil et avec toute la bonne volonté du monde, ça a quand même une grosse tendance à finir dans le mur. Bon, après, je ne te cache pas que je suis un peu un fanboy de ce studio qui est pour moi, et de très loin, ce qui s’est fait de mieux sur cette génération. Bayonetta 2 sera d’ailleurs, avec le Projet X, le jeu qui me fera sans doute acheter une WII U. Et sans doute cette année.

  4. Je suis rassurée de ne pas être la seule ici à être très déçue par Remember Me. D’autant plus vu comment Hyades l’a encensé, je ne m’attendais franchement pas retenir de lui un souvenir si mauvais. Vraiment dommage vu le potentiel qu’il dégage clairement, que ce soit dans la théorie ou même dans la pratique (car in-game, on ressent très bien les idées et les ambitions qui auraient pu faire de lui un excellent jeu qui sort un peu des sentiers battus). Mais ce gameplay, je dis non, non et NON.

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