Second édito en une semaine. Evidemment, comment ne pas vous souhaiter une bonne nouvelle année ? Impossible, et certes ce...
Mois : décembre 2014
Les fêtes de Noël sont toujours un moment privilégié de l’année où les bons sentiments sont partout – sauf dans...
The Last of Us m'a semblé être un jeu plutôt déséquilibré. Son optique d'immersion par une technique et une psychologie des personnages très poussés est développée, dans un parti pris juste, sous l'angle de la survie et, donc, du réalisme. L'ennui est venu, pour ma part, de va-et-vient permanents entre une atmosphère toute crédible et des mécaniques dont j'ignore si elles sont inadaptées ou mal exécutées. Celles-ci donnent lieu à des incohérences régulières en terme d'expérience. Autant le dernier tiers du jeu est excellent car la formule devient beaucoup plus organique, autant les douze premières heures de jeu ne sont pas parvenues à m'emporter, et à me faire craindre pour Ellie et Joel. Une note de cynisme bienvenue vient conclure une expérience très contrastée pour ma part. Et dont je regrette qu'elle étire à ce point une formule sur une première moitié longue, mécanique, avec des ficelles qui sautent trop au yeux. Un jeu qu'il faut faire malgré tout, juste pour ce pic ultra-immersif que constitue son dernier tiers.
L’évolution est un sujet relativement apprécié dans le jeu-vidéo, notamment chez l’éditeur Enix, avec un certain E.V.O. : Search for Eden sur Super Nintendo..
Un sujet tenait tout particulièrement à coeur LCed : la presse Jeux vidéo, c'est pourquoi le voici aux commandes pour ce quatrième épisode de Boulette Time. Scindée en deux parties distinctes, l'émission reviendra dans un premier temps sur le paysage actuel de la presse JV, papier comme internet pour s'attaquer, ensuite, au contenu proposé aux lecteurs.
Historique dans tous les sens du terme, Valkyria Chronicles révolutionne à la fois la stratégie et le RPG. Titre absolument unique, la qualité de son gameplay n'a d'égal que l'intelligence de son déroulement et la richesse de son univers.
Last Window a beau être une suite recyclage qu'on pourrait presque catégoriser de paresseuse, la magie qu'avait introduit Hotel Dusk : Room 215 est par ailleurs encore présente. Même si certaines énigmes se révèlent franchement mal foutues et même si le rythme est encore plus mollasson que son prédécesseur, on finit malgré tout par se laisser charmer de la même manière. En tout cas, Cing nous signe ici un chant du cygne plus que séduisant, signe que le défunt studio était loin d'être manchot dans son domaine.
Même si nous avons découvert bien mieux sur Nintendo DS depuis sa sortie, Luminous Arc mérite l'attention des fans du genre. Epoch a su allier une bonne réalisation à une ambiance sonore de qualité ainsi qu’à un scénario intéressant. Luminous Arc a donc tout pour vous faire craquer. Il faudra cependant passer outre le démarrage plutôt lent et le classicisme exacerbé des mécaniques.
Enfermez-vous dans une pièce, seul(e), éteignez-les lumières, branchez le casque, et (re-)plongez avec nous dans le macabre univers des survival...