Interview Ekianjo – 16-32 Bits : La Passation

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Archaïc : Je pense que nous avons bien fait le tour du projet. J’aurais encore deux petites questions avant de conclure. As-tu d’autres projets en tête que ce livre ?

Ekianjo : Oui ! (rires) J’ai toujours plein de projets.

Archaïc : Il y en-a-t-il sur lesquels tu peux d’ores et déjà parler ?

Ekianjo : Je peux déjà dire que si le projet de livre en français ne marche pas, il y aura probablement une nouvelle tentative sur le marché américain sur la plateforme Kickstarter. En fait, je voulais commencer directement par un livre en anglais. Je me disais que cela allait être compliqué de trouver un public en France, ce n’était pas forcément évident. J’en ai justement discuté avec le rédacteur en chef d’Icare Magazine il y a quelques mois de cela. Il me disait que j’avais plus de chances sur le marché français puisque j’ai déjà une notoriété établie avec SANQUA – bien que SANQUA ne soit pas super connu non plus, mais cela représente quand même un exemple de ce que je sais faire, que je peux montrer aux gens – , j’ai donc déjà une présence au niveau français, ce que je n’ai pas avec le marché américain ou anglophone. Si le projet n’aboutit pas en France, il y a des chances pour qu’il continue à l’étranger. Je préfère tout de même attendre les résultats du projet en France, puisque ce serait à priori plus facile pour moi d’écrire en français et d’aller vers le public français que je connais davantage. Et ça serait la continuation logique de SANQUA.


Deux couvertures alternatives

Archaïc : D’autant qu’il y a d’autres publications en France qui fonctionnent plutôt bien comme les Pix’n Love, qui financent d’ailleurs certains projets amateurs mais également les ouvrages de Console Syndrome. Je pense qu’il y a un réel boom au niveau des publications sur le jeu vidéo en France. Cela peut justement être le bon moment pour proposer aux joueurs une autre alternative, un autre livre sur le jeu vidéo.

Ekianjo : Oui, de toute façon, je suis ouvert à tout type de diffusion. Pour rester dans les autres projets, si celui-ci se fait et que l’accueil du public est bon, probablement que je relancerais un autre projet derrière pour parler d’autres sujets tels que la période Dreamcast, Playstation 2, Xbox et Gamecube. Un peu moins intéressante que la période 32 bits mais tout de même croustillante avec notamment le départ de Sega du poste de constructeur. A côté de cela, j’ai aussi plein d’autres idées d’ouvrages, mais je dois encore peser le pour et le contre pour savoir si elles méritent de rédiger un livre pour elles. Mais elles restent dans le domaine du jeu vidéo. Toujours. (rires)

Archaïc : Dernière question : Si tu devais convaincre nos lecteurs en quelques mots, quels seraient-ils ?

Ekianjo : Oula difficile (rires). Ce que je vous propose avec ce livre, c’est tout ce que vous auriez aimé savoir sur l’époque 32 bits, avec ses tenants et ses aboutissants. Avec cet ouvrage, vous aurez très certainement un nouveau regard sur cette époque et sur tous ses acteurs. Sur Sony, sur Sega, sur Nintendo, les autres … et vous en saurez encore davantage pour être un gamer accompli.

Archaïc : Eh bien, merci beaucoup à toi et espérons que le projet aboutisse.

Ekianjo : Merci à toi pour ta disponibilité et ton soutien.

Si vous désirez soutenir ce projet, quelque soit vos moyens, nous vous rappelons l’adresse de la page Kiss Kiss Bank Bank.

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  1. Voilà une initiative et un projet de bouquin qui semblent des plus intéressants! Je m’en vais y participer dès que possible 🙂 Bonne interview en tout cas, je dois avouer que je connaissais pas du tout SANQUA. Voilà qui est corrigé!

  2. Sans vouloir dire du mal de ce projet, je trouve qu’il y a trop de bouquins sur le retrogaming, on en découvre tout le temps et pas mal sont de simples livres dans lesquels on nous balance tout un tas d’infos disponibles sur le net.
    Aujourd’hui je vois ce projet 32bits, il ne m’intéresse absolument pas, je pense qu’il y a suffisamment de données sur le web, et ce n’est pas du retro qui remonte à 30ans, un livre sur ça je ne pense pas qu’il y ai un engouement énorme.
    Maintenant vu le nombre de jours restants et vu que les 15000€ sont vraiment hors de portée, je suis persuadé que le livre ne se fera pas du tout.
    Pour conclure, je dirais que ce livre est un énième bouquin parlant de consoles qui n’apporte vraiment rien de plus que ce que l’on doit savoir.
    Désolé pour mon avis, mais je suis même assez énervé de voir autant de livres sortir de partout, c’est vraiment la mode. Ça m’énerve autant que tous ces mecs qui font des tests de jeux sur youtube et qui pensent être intéressants, comme si on avait besoin d’eux pour avoir des infos. C’est nul, et sans aucun intérêt.
    La passation 16-32 ? Mais franchement pourquoi pas la Passation 8-16 ? quel est intérêt de parler de la génération Playstation ? Les vrais amateurs de retrogaming s’intéressent au début du jeu vidéo, pas à la Playstation qui n’est d’ailleurs pas considérée comme faisant partie réelle du retro à part pour les gamins de 15 ans.
    On sait tous que la PSX devait être un lecteur cd du la super nintendo, après pour les détails tout est sur internet.

    1. Tiens, un serpent est venu cracher son venin ? 🙂
      Si les livres sur le rétro ne t’intéressent pas, ce n’est pas la peine de venir les dénigrer. C’est comme a la télé, quand tu n’aimes pas, tu zappes. Tu t’insurges contre plein de choses qui ne t’intéressent pas, dans la vie? Eh bien, tu dois etre malheureux, je te plains…

      Quant à savoir si ce livre « n’apporte rien », il faudrait déjà l’avoir lu pour en dire autant. Je pense écrire des choses bien plus intéressantes que « la PSX devait etre le lecteur CD de la SNES ». Merci de pas prendre les autres pour des imbéciles.

      Et je t’invite à juger par toi-même de mon article sur la 3DO dans le dernier SANQUA, tous ceux qui l’ont lu m’ont dit qu’ils avaient appris plein de choses. Comme quoi…

  3. je fais aussi parti de cette génération de joueurs qui a connu cette génération et au delà de la nostalgie, c’est vraiment les prémisses d’une « autre façon de jouer », et une consommation plus massive du jeu vidéo tel qu’on connait le marché aujourd’hui qui a commencé. Ce que l’on peut aussi regretter d’ailleurs. Après je ne peux pas juger un livre que je n’ai pas lu, mais la couverture laisse un peu penser à un bouquin très « pro-playstation » alors qu’avec du recul ce sont les jeux qui on fait l’époque et non pas le succé commercial d’une machine. là ou je peux rejoindre le Keke, c’est sur le fait que la playstation était vraiment une machine de son époque dont la PS2 et 3 sont dans la continuité , difficile donc (c’est un avis personnel) d’y voir un interet retro, là ou une machine comme la Saturn de part sa ludothèque chargé en jeux d’arcades et en 2D représente aujourd’hui encore beaucoup d’interet. Tout comme la Neo Geo d’ailleurs.

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