Dans la veine de mon article sur PlatinumGames, je vous propose de continuer un petit tour d’horizon de talentueux studios,...
Mois : décembre 2015
Peut-être que la note vous semblera abusée pour ce premier volet. Pourtant, de toute la série, c'est vraiment par cet opus que votre serviteur a préféré. Malgré ses quelques petits défauts techniques de caméra et autres bugs de collision ou encore une durée de vie pas forcément mirobolante. Mais à côté de cela, c'est vraiment par ces timides débuts d'innovation loin d'être anodins tout en jouant sur l'accroche farouche vis-à-vis de la plate-forme passée que le charme des premiers méfaits de Jak & Daxter opère. Car au fond, il y a toujours un moment où l'on sera touché par la fibre nostalgique et c'est justement ce qu'il se passe avec ce jeu : mettre un point de départ à une (r)évolution tout en restant raccroché à cette empreinte enfantine, cartoonesque et déjantée, caractéristiques du jeu de plate-forme mis en place depuis des décennies..
Les nouveaux propriétaires de Star Wars n'y ont pas compris grand chose. Personnages ratés, peu charismatiques, action mollassonne, scénario copie-carbone et perte des grands principes de la saga, le Réveil de la Force s'est endormi sur ses lauriers. Star Wars a échoué là où Jurassic Park avait réussi. Rien ne peut venir altérer une telle déception, sauf peut-être se dire que ce n'est pas vraiment Star Wars, et que la saga que je connais s'est bien terminée il y a 10 ans.
[dropcaps style=’2′]Le 24 décembre. Certains courent encore dans les magasins en raison d’un manque flagrant d’anticipation, d’autres sont au fond...
A nouveau mois, nouvel aRPiGi. L'actualité RPG a été bien remplie et pourtant, ce nouvel épisode est le plus court jamais proposé - en quatre émissions quoi. Grosses fatigues, maladies, fièvre, problèmes de micro, urgences familiales, aRPiGi n°4 a été tout ça à la fois.
La logique de l'arc Victory a vécu. Si MegaDimension Neptunia VII retrouve la plupart des qualités de la série (humour, personnages, etc.) tout en s'octroyant le luxe d'une OST de feu, les déséquilibres du gameplay et du game design gâchent un peu l'aventure. Plus encore que ça, il lui manque aussi peut-être ce petit plus qui rend la série aussi atypique.
Le premier numéro de conseil de lecture avait été un coup d’essai. Une envie d’aborder les parutions liées au jeu...
Donald Couak Attak n’est pas un titre forcément très ambitieux. Il se repose sur la formule instaurée par Naughty Dog avec sa série des Crash Bandicoot, mais, tel un étudiant bien appliqué, il la reproduit de manière honnête. Désespérément simple, il permet de passer une sympathique soirée aux côtés du canard de Disney, avant de retourner dans l’oubli.
Si Nights of Azure est indubitablement une incursion intéressante de Gust dans le monde de l'action-RPG, son manque d'intensité général le pénalise grandement face aux ténors du genre. La direction artistique comme musicale reste cependant très efficace et le jeu a ses très bons moments, aux rangs desquels sa fin en apothéose.