Après une interlude nippone pour le Tokyo Game Show, les lumières reviennent sur l’Europe. Suite à une Gamescom où c’est...
Mois : octobre 2015
[dropcaps style=’2′]La Paris Games Week 2014 ne fut pas époustouflante. Peu d’inédit, line-up occidental convenu, temps d’attente indigeste… Dès lors...
Même si Persona 4 Dancing All Night fait indéniablement passer un très bon moment, il reste plus «faible» que les autres jeux de rythme en vue sur la portable de Sony. Un jeu doté d'un style marqué, d'un mode histoire intéressant à plus d'un titre et d'une tracklist efficace dans son genre, mais qui fait fausse note par une richesse et un système de jeu un peu en-deçà des attentes.
Voilà qui montre un fait fort ironique. Fort d'un engouement excessif en 2004, c'est pile poil lorsqu'il réussit à sortir un soft véritablement à la hauteur de l'étiquette qu'on lui a collé à la peau que les gens boudent Pendulo Studios. Voilà qui est très bête car il s'avère que The Next BIG Thing est aussi gros que son intitulé. Dommage que sa progression soit trop expéditive et compressée car il aurait obtenu le sans-faute. Tsssss, sacré Dan !
Raw Danger! n’est certes pas un jeu parfait, loin de là, mais propose tout de même une expérience ainsi qu’une ambiance des plus solides. Il surpasse son prédécesseur en offrant un gameplay bien plus varié et difficile, ainsi qu’un scénario, des personnages et des situations périlleuses bien mieux travaillées et plutôt crédibles mine de rien..
De l'extase tactique à l'extase artistique en passant par un gameplay aux petits oignons, Fire Emblem Fates est une drogue dure qui procure un plaisir immense. Approchant facilement les 200 heures si l'on veut explorer son univers de bout en bout, il se consomme longuement et lentement. Dommage cependant qu'il ait voulu jouer aux apprenti-sorciers marketing, car cela se ressent sérieusement sur la cohérence et l'intensité narrative.
De nombreux bouleversements dans la vie de chacun des membres de l'équipe d'aRPiGi ont fait qu'il a été nécessaire de faire l'impasse sur un numéro en septembre. Ce n'est pas bien grave, l'actualité RPG ayant été gorgée d'annonces ces dernières semaines, ce numéro d'octobre n'en est pas moins rempli.
MOTHER ne prend pas place dans univers de fantasy comme ses inspirations les plus notables telles que Dragon Quest. Pour être plus exact, l’intrigue se déroule durant les années 80, soit la même période que fût distribué originalement le jeu. De quoi attirer le chaland, au delà de sa jaquette d’un rouge uni. Il ne s’agit pourtant pas du premier RPG qui se déroulait dans une époque contemporaine, puisqu’il suffit de revenir un peu en arrière dans le temps pour y trouver les Megami Tensei de Namco(t), sortis sur le même support.
Avec Tales of Zestiria, il faut plus que jamais prendre du recul et éviter les jugements à l'emporte pièce. Car au-delà des gros titres à scandale et des médisances de comptoir se trouve un JRPG complet, mené avec brio et doté d'un système de combat de génie.
CD Projekt RED nous embarque dans une aventure absolument incroyable : The Witcher III fait figure de véritable chef d'œuvre. Fort d'une direction artistique (musiques, environnements...) à couper le souffle, d'une histoire aux multiples embranchements et d'un univers extrêmement riches et matures, associés à un gameplay des plus solides, The Witcher III marque avec brio les esprits en dépit de quelques défauts qui subsistent (petites imprécisions techniques, équilibre de la difficulté étrange). Nous tenons ici sans conteste le RPG le plus riche qui soit....
L'automne est là ! Le Tokyo Game Show est passé, les vacances d'été sont oubliées auprès d'élèves qui vont déjà bientôt pouvoir profiter de deux petites semaines de repos, les chanceux. Chez Archaïc, nous n'avons pas chaumé ces dernières semaines, et comme il est de coutume, tous les deux mois, voici voilà un nouveau numéro du supplément consacré aux jeux-vidéos indépendants.
La scène homebrew est très vivante sur les consoles de notre enfance. Nes, Megadrive, Super Nintendo et Neo Geo. Nous...