Dungeon-RPG hardcore mais accrocheur, mais jeu ecchi qui ne s'assume pas totalement, Moero Chronicle n'en est pas moins très agréable grâce à un casting de choc et de charme. Visuellement et musicalement hypnotique, il se démarque assez pour faire sensation dans le genre.
Mois : mai 2015
La section Podcast sur Archaic.fr est régulièrement occupée par Boulette Time, co-production oblige. Et puis nous avons toujours un ou deux de nos chers rédacteurs qui y participent. Aujourd'hui, pas de production ou co-production Archaic.fr mais un podcast où l'un des nôtres a été invité, en l'occurrence Vidok : le podcast du site Jeudepixel.fr sur Persona 4, sous-titré Persona 4, your trueself ?.
Persona 4 The Golden est donc un monstre du JRPG, à la durée de vie dépassant allègrement les quatre vingt heures de jeu pour espérer tout achever. Il reste dommage que réussir tous les S.L. au sein d’une même partie ne soit pas à la portée de tout le monde et qu’il faille attendre le New Game +, une soluce sur les genoux, pour tout faire en une seule partie. Quand bien même, cela n’arrive même pas à gâcher le constat général qui veut qu’il s’agit d’un titre absolument incontournable car incroyable de générosité. En tout..
Enlevez un point pour la version PC, partiellement amputée. Mais sinon, ce Dead or Alive 5 : Last Round est tout bonnement jouissif : casting varié et d'excellente facture, arènes nombreuses, costumes qui se comptent par centaines, modes de jeu offlines et onlines multiples... le contenu se révèle être impressionnant. Le travail sur les animations et les détails graphiques (sueur, vêtements, poitrines...) est également remarquable. Ajoutez à cela la maitrise de la Team Ninja pour obtenir un gameplay aux petits oignons et vous tiendrez là une pure référence du jeu de baston en 3D, alliant fun et technicité. Et si les DLC un poil abusifs fusent, le contenu de base se suffit à lui-même. Indispensable !
Enfermez-vous dans une pièce, seul(e), éteignez-les lumières, branchez le casque, et (re-)plongez avec nous dans le macabre univers des Survival-Horror....
A n'en point douter, l'engouement quant à Runaway était un brin excessif. Même si l'épisode clôturant cette trilogie est une véritable réussite, les deux autres se montrent, chacun à leur manière, trop immatures pour convaincre. Il demeure néanmoins intéressant de s'y pencher car la trilogie est révélatrice des progrès des Espagnols de Pendulo Studios au fil du temps... des premiers balbutiements timides à une véritable maturité maîtrisée et assumée..
Petite cartouche, grande aventure. The Legend of Zelda : Link's Awakening DX est et restera pour ma part un grand classique de la Game Boy et ambassadeur du Zelda "alternatif" où sauver une princesse ne sera pas au programme. Aussi bon dans le fond que dans la forme, cet épisode portable offre un univers percutant, un gameplay précis et des musiques magnifiques. De plus, il aborde un thème encore assez rare aujourd'hui, et ne se plie pas aux protocoles qui consiste à balancer au joueurs une fin heureuse. Et pour ça, il restera éternellement un de mes jeux préférés..
Pas de panique cher lecteurs, il n'est pas question ici de faire une critique détaillée de ce merveilleux (ou pas...) volet de la saga Pokémon... mais plutôt un récit qui j'espère, à défaut de vous faire fuir, vous fera un peu rire et surtout pour les novices de la saga vous donnera envie de vous lancer, pourquoi pas avec votre fils/fille, petit frère/sœur ou cousin/cousine ... ou qui vous voulez... parce que : "attrapez les tous !"
Ce n’est même plus de l’amour qui anime la relation entre Sonic 2 et moi. Sonic 2, c’est le jeu d’une console, ce jeu qui vous fait convoiter à tout prix la nouvelle console, ce jeu qui peut vous faire des mois entiers avant d’effleurer l’idée d’en essayer un autre. En plus, ce jeu était vendu en pack avec la console. Le pack qu’il me fallait, de ma huitaine d’années.
Donkey Kong, par le biais de n'importe quelle version mais surtout avec celle sur Gameboy, est un titre fondateur qu'il convient de découvrir pour tous les amateurs de jeux vidéo. Que ça soit pour l'histoire qu'il y a autour (le premier jeu de Miyamoto, un jeu qui aurait dû être une adaptation de Popeye à la base, ou encore l'erreur dans le titre...) ou tout simplement pour se plonger dans un jeu avant-gardiste et ingénieux. Et si vous tombez sous le charme, les suites sont là (Donkey Kong Jr., Donkey Kong 3.)
Le souffle de l'aventure sur Megadrive, c'était en compagnie de Ryle et Friday. La quête des trésors du Roi Nole est un bijou d'aventure. Compact, addictif, extrêmement bien réalisé : un vrai cadeau fait aux aventuriers de l'époque. Les mécaniques huilées et intemporelles de cette campagne en font un opus qui résiste extrêmement bien au poids des ans. Rétrogamers, à vos boucliers !
Je m'en souviens comme si c'était hier. Je vois encore mon père m'attendre dans la cuisine de la maison de mon enfance pour me transmettre un curieux jeu avec en couverture le Dr. Robotnik, le méchant des jeux Sonic. Interloqué par ce jeu qui n'était pas un Sonic tels que je les connaissais, je n'imaginais alors pas combien ce titre serait précurseur de bien plus de choses dans ma vie de gamer que les épisodes canoniques de plate-forme.
Si vous n'approchez pas d'un âge qu'il convient de qualifier de canonique, sans doute ne connaissez-vous pas L'Arche du Capitaine Blood. Sorti en 1988 sur Atari ST et développé sous le label Exxos d'ERE Informatique (futur Cryo), c'est l'archétype de l'OVNI inclassable. Mélange étrange d'exploration, de diplomatie et de fumette de substances illicites, l'Arche est un jeu fort qui marque et fait toujours montre aujourd'hui d'une audace et d'une modernité étonnantes. Petit retour vers le passé.
Il est certain que ce petit Kirby tout mignon ne se hisse pas à la hauteur des autres héros emblématiques qu'on voyait chez Nintendo dans la même période (Mario, Wario, Donkey Kong...). Néanmoins, au milieu de tous ces jeux plus exigeants que le design enfantin ne le laisse paraître, disposer d'un jeu ouvertement jeune public avec toute la modestie et simplicité que cela incombe est une excellente entrée en matière. La bambine que j'étais appréciait de pouvoir voir le bout de l'aventure sans (trop) me tirer les cheveux. Et l'adulte parfois un peu bambine que je suis garde cette nostalgie bienveillante à l'égard de ce petit fantôme rose qui a toujours su évoluer à sa manière avec son temps et les différents supports, à l'instar de son cousin Mario..
Ce mois-ci, nous vous proposons une semaine spéciale nullement liée à l'actualité, à l'inverse de celle sur Inazuma Eleven. Elle en est même à l'opposé complet puisqu'elle aura attrait à du retrogaming, et plus exactement à des coups de coeur.
Un nouveau film sur Dragon Ball Z est forcément un événement. Que l’on soit fan ou non, voir cette série culte revenir sur le devant de la scène a quelque chose de nostalgique. SonGoku, les sept boules de cristal les super guerriers, et tout cet univers imaginé par Akira Toriyama a quelque chose de rassurant. Pourtant, comment ne pas trembler pour l’amoureux de la série au regard du désastre que cela peut être…
Comment rester de marbre devant le phénomène Indépendant ? Ces jeux aux budgets et ambitions moindres, souvent développés par de toutes petites équipes, et qui, pourtant, sont désormais dragués par les plus grands constructeurs. L'équipe de Boulette Time a voulu revenir dessus, tenter de définir ce qu'est un indépendant et surtout voir comment cette caste de jeux se présente et sort son épingle du jeu. Et pour cela, deux invités se sont joints aux lurons habituels, Miniblob, l'un des spécialistes indépendants de l'ancienne rédaction de jeuxvideo.com et Mizakido, monsieur Indépendant chez Archaic.fr et qui s'occupe de la rubrique L'Indépendant.
Comme les spin-off précédents, cet épisode 100% action de la licence est assez perfectible mais s'octroie des qualités décisives. Le gameplay aurait sans doute nécessité plus soin, mais il est tellement sublime et drôle par ailleurs que les aficionados craqueront assurément.