DriveClub se parcourt le sourire aux lèvres les premières soirées, pour finalement offrir une conduite insupportable où la moindre erreur - souvent provoquée par l’IA - oblige à tout recommencer. Très classique dans sa progression et finalement assez maigre en options et customisations, DriveClub étonne. Après tant de mois de gestations supplémentaires, comment peut-il paraître si archaïque et convenu. Les fans d’arcade apprécieront mais le déserteront une fois les conduites en drift quasiment obligatoires. Les pro-simu le laisseront sur le bas côté dès le démarrage. Il en résulte un petit jeu de bac de soldes, bien loin de son statut de blockbuster proclamé par la communication Playstation.