Avec ses visuels psychédéliques très chiadés, son scénario étonnement bien travaillé, sa violence outrancière et son gameplay résolument porté sur de l’arcade fin et délicat, avec un challenge suffisamment présent, l’œuvre du duo suédois de Dennaton Games est un des meilleurs jeux indépendants de cette année 2012, et surtout celle qui se fout de tout et qui le fait bien savoir..
Mois : octobre 2012
Par bien des aspects, Final Fantasy XIII-2 est une déception, quand bien même il soit loin d'être désagréable à parcourir. Moins audacieux que son aîné, c'est justement cette volonté de lèche-bottisme de Square Enix afin de tenter d'obtenir le pardon face à la controverse de Final Fantasy XIII qui finit par le perdre. Ce qui est bien dommage car ce côté cahier des charges au point par point adapté au gameplay mis en place précédemment est quand même bien moins inspiré, ce qui ne fait que grimper la frustration dans le mauvais sens du terme, là où son grand frère arrivait justement à la doser de façon très positive.
Faire des remakes de point'n click des point'n click de fin 80's / début 90's, en voilà une idée pas si saugrenue. Car l'âge d'or du style avait beaucoup à offrir mais il faut admettre que le gameplay originel a quand même pris un sacré coup de vieux et semblera peu ergonomique et rebutant aux plus jeunes qui auraient la curiosité de s'y mettre. Alors, dépoussiérer un peu tout ça ne peut pas faire de mal, surtout si c'est fait avec bon goût, à savoir une prise en main et des visuels plus modernes avec une conservation de l'esprit originel. Ce que fait très bien cette Special Edition du premier Monkey Island qui, en plus de moderniser son propos, conserve la version de l'époque, deux versions interchangeables à tout moment. De quoi clouer le bec aux vieux sceptiques conservateurs.
Les Griffins, American Dad!, The Cleveland Show… Derrière ces séries animées injustement qualifiées par certains de plagiats des célèbres Simpsons...
Why so serio… Why ? WHY ?? C’est avec un peu de retard que je me decide à écrire une review sur...
Of Orcs and Men attire l’œil. Spiders, du haut de sa petite vingtaine d’employés, a réussi à offrir un cachet qui n’a pas à rougir face aux superproductions du marché ; tandis que Cyanide fait encore une fois montre de son talent d’écriture offrant aux fans de bonnes histoires et dialogues savoureux une nouvelle aventure. Un scénario à découvrir, s’appréciant de plus en plus au fil des heures, tel un bon bouquin, et qui saura tenir en haleine plus d’un joueur. En espérant que ce n’est bien que le début d’une trilogie qui nous amènerait à parcourir plus ouvertement les terres Isériennes…
Indépendamment de la qualité de la bande son, il est toujours intéressant de découvrir la personne qui se cache derrière....
[line style=’dotted’ top=’10’ bottom=’10’ width=’100%’ height=’1′ color=’blue’] Composition : Olivier Derivière Interprétation : The Boston Cello Quartet Année de sortie...
Pour débuter cette semaine spéciale Of Orcs and Men, nous nous sommes demandés chez Archaïc qui était le mieux placé...
11 octobre 2012, Of Orcs and Men sort en France. Au milieu de Resident Evil 6 et Dishonored, le titre...
Mortal Legacies est donc à laisser dans les limbes des Indie Games du Xbox Live Arcade. Un beau naufrage dont son créateur est parfaitement conscient. Il nous promet de tirer profit de ses erreurs et nous révèle s’être mis au travail sur son nouveau jeu peu de temps après la mise en vente de Mortal Legacies. A la bonne heure.
La monture Mario Kart sur Gamecube marque un "tournant" dans la série. Pas que Nintendo se décide à changer fondamentalement sa recette - on en aurait été fort étonné - mais il faut admettre que l'inclusion de la notion de paire sur un seul et même véhicule est quand même une étape importante. D'autant plus qu'il s'agit d'une caractéristique qui est resté sur les épisodes suivants, signe que ce n'est pas si anodin. Autrement, rien à relever d'autre à l'horizon : Mario Kart Double Dash !! reste un Mario Kart pur jus réunissant fun immédiat et pilotage bien plus exigeant qu'il n'y paraît au premier abord, que ce soit seul mais surtout à plusieurs.