Peut-être ne l’avez-vous pas remarqué mais Archaïc se bonifie au fil des jours. De légères améliorations surviennent un peu tous...
Mois : février 2011
Voilà un nom bien étrange pour un jeu. Mais il a cependant le mérite d’éveiller la curiosité pour celui qui...
Malgré la jeunesse de Feelplus, leur savoir-faire est bel et bien là, sans compter sur le chaperonnage de Mistwalker. Lost Odyssey accumule peut-être les bourdes de jeunesse (graphismes inégaux, temps de chargement à déterrer un mort, maladresse de narration par instant), il n’en reste pas moins l’une des meilleures aventures du genre de ces dernières années tous supports confondus. Et vu l’excellence de la dernière génération de RPG, ce n’est pas rien. Sakaguchi a pour ainsi dire réussi son pari et donné une petite leçon à beaucoup de concurrents. La question qui demeure maintenant dans toutes les têtes : une suite ou pas ? Ceux qui auront fini le jeu espéreront que non – l’aventure se suffisant à elle-même – mais les lois du marketing étant ce qu’elles sont, tout est à envisager… Pour l’heure, nous avons Lost Odyssey et c’est déjà beaucoup.
Malgré l’absence d’un réel scénario (il existe mais demeure d’un classicisme absolu), Dragon Quest Monsters J remplit totalement son contrat en nous amusant et en nous occupant de longues heures durant, sans l’ombre d’une lassitude. D’ailleurs, il en est presque décevant de le finir si vite (30 heures, je rappelle). On espérait encore plus. On rêve alors de rangs après A pour nous donner un espoir de continuité. Le boss de fin n’était finalement pas si méchant, on en veut un autre. Eh bien, soyez heureux, la fin est ouverte : vous pouvez continuer à jouer même une fois le générique visionné. Vous vous demandez si ce jeu est fait pour vous ? Si vous ne vous êtes pas reconnu dans les quelques catégories de personnes citées tout au long du texte, alors il y a des chances pour qu’il vous plaise. En tout cas, le plaisir a bel et bien été là en ce qui me concerne. Pourquoi pas chez vous ?
Code Age Commanders n'est pas dénué de qualités. Ce n’est pas un RPG mais il en propose l’univers, la musique et l’intérêt. Pour une fois qu’un jeu sort des sentiers battus en ce qui concerne le design, il serait dommage de le bouder. Les mécaniques de jeu sont en vigueur depuis longtemps (cinématique, dialogues, exploration, boss, nouveaux pouvoirs, cinématique, dialogues, …) mais le système de combat est très plaisant, une fois assimilé. Difficile donc de bouder notre plaisir. C’est triste que les japonais n’aient pas suivi. Il est pourtant vivement conseiller, rien que par l'originalité visuelle de son univers.
Premier jeu Square Enix annoncé sur Playstation 3, Final Fantasy XIII n’a pour le moment été dévoilé qu’à travers un...
Les Chevaliers de Baphomet Director’s Cut est un fabuleux hommage aux joueurs de la première heure, ceux qui l’ont retourné moult fois sur PC et Playstation. C’est un peu comme rejouer au même qu’à l’époque mais plus simplement et avec des scènes supplémentaires, faisant passer la durée de vie de 8 à 9 heures. Le plaisir de découverte n’est plus totalement présent, mais cède sa place à celui de la nostalgie pure et dure. A l’instar de Mastercard, le sourire qui nous traverse à chaque tableau n’a pas de prix. La force de cette galette Wii est qu’elle conviendra très certainement aux nouveaux joueurs. Habitués à des titres pas forcément impressionnants graphiquement, ils y verront un jeu à l’ambiance graphique tirant sur le cartoon, des décors français et l’occasion de découvrir un classique. L’aide leur offre de plus l’opportunité de ne pas mourir de frustration sur un puzzle, en espérant qu’ils n’en abusent pas, bien sûr. Il serait dommage de faire chuter l’endurance du titre à cause d’une flémingite des neurones. Il faut en effet tabler sur une bonne douzaine d’heures pour le néophyte. Honnête pour le genre. Charles Cecil ne nous livre pas un soft parfait, les soucis de sons et de vieux sprites ne sont pas à oublier, mais devant le plaisir ressenti au cours de l’aventure, il serait dommage de les mettre au premier plan. Les Chevaliers de Baphomet revient tout de même rajeuni, frais et toujours aussi passionnant. Un must-have pour les possesseurs de Wii.
Secret Files : Tunguska se veut un jeu particulièrement logique. Loin de l’invraisemblance d’un Discworld ou d’un Blazing Dragons, encore plus éloigné de l’idiotie d’un De Sang Froid mais très proche d’un Chevaliers de Baphomet ou d’un Runaway, il allie un scénario fascinant, des personnages intéressants et un gameplay fort bien pensé. Premier d’une trilogie, Tunguska est maîtrisé du début à la fin. Pour un premier jeu, Deep Silver a réalisé un véritable coup de génie en offrant au genre un de ses meilleurs représentants. Du coup, une fois l’aventure achevée – une sympathique surprise vous y attend d’ailleurs –, une seule envie vous tiraille : insérer l’épisode deux, Puritas Cordis.
Final Fantasy XIII divisera peut-être les foules, mais son évidente volonté de bien faire retournera très certainement la situation dans le cœur de certains réfractaires, si tant est qu’ils prennent la peine de s’investir dedans. FFXIII demande à chacun de vivre son histoire, de suivre la tragédie qui se déroule sous nos yeux – des événements et une fin dont seule Square Enix a le secret – et de tout mettre de côté pour sauver Cocoon et nos l’Cie. Une épopée incroyable qui ne demande qu’à être vécue, que ce soit sur Playstation 3 ou Xbox 360.
Alpha Protocol est une déroutante réussite. Le principe n’est pas parfait, mais déjà très bien rôdé. La précision des dialogues et l’importance du joueur dans la narration gomment tout deux les défauts techniques. Ceci s’applique bien évidemment au cas de ceux capables de passer outre une réalisation datée et un gameplay peu précis. A rajouter à cela un nombre honteusement élevé de bugs (surtout face aux boss), preuve d’un travail mal fini, et nous serions à deux doigts de crier au scandale. Les joueurs qui ne toucheront qu’à quelques minutes de gameplay seront déçus, voire écœurés. Les acheteurs, se faisant un devoir de rentabiliser leurs deniers, persévéreront, enchainant les missions. La moelle se révélera alors, les laissant face à un titre passionnant qu’il est difficile de lâcher une fois plongé dans cette intrigue se façonnant au gré de leurs décisions. Alpha Protocol n’est donc pas le ratage auquel nous aurions pu croire. Il se révélera comme l’un des très bons titres de 2010, à ceux qui lui laisseront une chance.
Bonjour et bienvenue à tous, Cela fait des années que je dis à qui veut l’entendre que j’aimerais réunir l’intégralité...
Beau, puissant, rythmé et prenant, Dante’s Inferno constitue une incursion réussie dans le monde des Beat’em all pour les géniteurs de Dead Space. Malheureusement, un peu à son image, Dante’s Inferno manque quelque peu d’identité propre. Il fait très bien son travail sans non plus se détacher de la masse autrement que par la renommée de ses créateurs. Nous aurions très certainement appréciés plus de personnalité, à la fois dans le gameplay et dans l’histoire. Heureusement, l’ambiance extrêmement glauque constitue un argument suffisant pour s’y intéresser. Nous en ressortons satisfaits. Il n’y a plus qu’à patienter jusqu’au numéro deux annoncé en fin de partie. Un peu plus de singularité et nous détiendrons un nouvel acteur majeur du genre.
Ridge Racer 2 est la copie conforme de son grand frère sans l’ombre d’une nouveauté valable. Même réalisation, même circuits, même voitures, mêmes bonus à débloquer, même progression, les deux titres ne diffèrent que dans des détails (mode arcade modifié, modes survie et duels ajoutés). A éviter donc si vous possédez le prédécesseur et à acheter si ce n’est pas le cas.
En tout cas, cette première édition de Columns sur Game Gear, bien que limitée, offre quelques moments de détente sympathiques, c’est déjà ça…
Les progrès de la technologie se faisant toujours plus rapidement, les joueurs se font de plus en plus exigeants sur...